VAUBAN  1707 -2007

INDEX

page accueil

aireslalys.htm

arras.

avesnesshelpe.

bayonne.

besancon1.

bethune.

blaye.

boulogne.

briancon.

collioure.

dunkerque1.

fort louis.

frontienord.

frontiereest.

gand.htm

guise.htm

index.

lafere.htm

langres.

larochelle.

lequesnoy.

lexique.htm

lille.

lorient.htm

lecabotage.

longwuy.

marseille

montdauphin.

montlouis.

montreuil.

nancy.htm

neufbrisach1.

page accueil

rocroi.

salces.

saint malo.

st vast lahougue1.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Vauban est né en mai 1633 à Saint-Léger-de-Foucherets, Vauban est le plus connu de tous les ingénieurs militaires . Vauban est remarqué par le cardinal de Mazarin qui le convainc de se mettre au service du roi. Vauban a alors vingt ans.
 
Renaud Donnedieu de Vabres, ministre de la culture et de la communication, annonce la décision du Gouvernement de proposer les dossiers "L’Oeuvre de Vauban" sur la Liste du patrimoine Mondial de l'Unesco

 

De 1653 à 1659, Vauban participe à quatorze sièges au cours desquels il est blessé plusieurs fois. Vauban reçoit son brevet d'ingénieur du roi en 1655 à l'âge de 22 ans. Nourri de cette expérience Vauban réfléchit aux procédés de l'attaque des places qui lui semblent trop coûteux en hommes. Vauban privilégie le rôle du canon par rapport à la mine. De même en théoricien de la fortification, Vauban améliore les règles préconisant l'adaptation du tracé bastionné au terrain et l'échelonnement de la défense en profondeur. En 1667, les sièges de Tournai, de Douai et de Lille, confirment la notoriété de Vauban.

 

Vauban exercera sa mission sur les frontières terrestres qui dépendent de Louvois, les frontières maritimes et les ports dépendant de Colbert demeureront encore dix ans sous la responsabilité de Clerville. Avec la guerre de Hollande en 1673, Vauban se lance dans la réalisation de ce qu'il appelle «son pré carré», c'est-à-dire à réduire le nombre de ses places pour ne conserver que les plus fortes qui ne sont pas isolées en territoire ennemi. Vauban recommandera pour ce faire une double ligne de places fortes, barrant la plaine des Flandres
 

 

 

Les organisations défensives (forts, places fortes, camps retranchés, région fortifiées) ont un double rôle : considérées individuellement, elles ont pour mission de barrer les grandes voies d’invasion qui peuvent être suivies par l’ennemi en cas d’envahissement brusqué du territoire ; considérées par rapport au système défensif des Etats, dont elles constituent les éléments, elles servent de points d’appui et de pivots de manœuvre aux troupes de campagne. Pour une armée poussant (Planche I Fig. 1) son offensive en avant de la ligne formée par le système défensif des places fortes, ces places servent de soutient jusqu’au moment où, le succès s’affermissant et la probabilité de leur intervention disparaissent, elle deviennent inutiles, et leurs garnisons ainsi que leurs approvisionnements deviennent dès lors disponibles pour d’autres opérations. On conçoit dès maintenant le lien étroit qui existe entre les armées actives et la fortification. Comme l’a dit très justement un écrivain militaire : « la fortification est la tactique écrite en style lapidaire. » En 1806, Napoléon disait lui-même : « L’organisation des forteresses repose sur le même principe que la disposition des troupes ; elles doivent servir aux opération - On doit créer à l’avenir de solides points d’appui aux endroits où l’on doit se borner à se défendre. » En 1809, il disait : « Comme les canons et les forteresses sont des armes qui ne remplissent pas seules leur mission : elle doivent être maniées en conséquence. »

http://www.fortifs.org/article.php3?id_article=482

 

INDEX

page accueil

arras.

bayonne.

besancon1.

bethune.

blaye.

boulogne.

briancon.

dunkerque1.

fort louis.

frontienord.

frontiereest.

index.

lille.

longwuy.

montdauphin.

neufbrisach1.

page accueil

saintmalo.

st vast lahougue1.